La musique classique est l’une des musiques les plus caractéristiques du XVIIIe siècle. Elle a fait connaître les plus grands compositeurs du monde qui, autrefois adulés, sont à présent des références. En effet, d’origine liturgique et séculière, la musique classique est distractive, mais semble aussi avoir des bienfaits insoupçonnés sur le cerveau.
Quel que soit le type de musique que l’on écoute, il faut avouer qu’il est d’une grande influence dans notre vie. Dans le cas de la musique de Renaissance dite classique, elle est source de bien-être inimaginable sur le cerveau.
Le cerveau et la musique classique
Se caractérisant par des compositions exceptionnelles, la musique classique fait naître en premier lieu chez l’être humain des émotions indéfinissables. Il a été remarqué le plus souvent qu’entendre de la musique classique a pour résultante la libération au sein du cerveau de la dopamine.
Ce neurotransmetteur présent dans l’hypothalamus libère des sensations de plaisir à l’écoute de la musique classique. Ainsi, si l’auditeur est stressé ou triste, la musique classique agira sur son mental pour lui transmettre des sentiments de joie et de sérénité.
Par ailleurs, la musique classique participe à l’éveil. En effet, lorsqu’on fait écouter de la musique classique à des malades de l’Alzheimer, on stimule leur cerveau qui se muscle. Ce dernier est alors en mesure de se rappeler ces sons bien après. La musique classique aide aussi à la créativité.
En effet, des études ont prouvé qu’il existe plus d’activité cérébrale chez les musiciens que chez les non-musiciens. Aujourd’hui, la musique classique est utilisée comme une thérapie : pour les personnes victimes d’AVC pour retrouver le langage ou pour les malades de Parkinson grâce à l’usage du piano.
Dans tous les cas, la musique classique est un véritable boosteur de la mémoire. Pour les victimes d’amnésies par exemple, rien de mieux pour éveiller leur mémoire qu’en leur faisant écouter de la musique classique.
Face à tous ces arguments, il n’existe alors aucune raison pour ne pas écouter du Mozart, du Beethoven, du Vivaldi ou encore du Debussy.